Nous vous présentons Thomas Hubert, directeur de GCP Consulting depuis près de 17 ans et passionné de batterie. Découvrez dans cette interview comment Thomas concilie sa passion pour la musique entre ses réunions, avec son métier de directeur.
Présente-toi en quelques mots et que fais-tu chez GCP Consulting ?
Thomas Hubert, j’ai le plaisir d’occuper le poste de directeur de GCP Consulting après près de 17 ans et des dizaines de projets dans des secteurs très variés (Industrie lourde, équipementier, construction, service public, agro-alimentaire, distribution, logistique, énergie, etc.). Mon domaine de consultance actuel de prédilection est le change management couplé à du process reengineering. Cependant, mon vrai intérêt est le coaching de nos collaboratrices/collaborateurs ainsi que l’entretien de la culture GCP.
Nous nous intéressons aux talents de nos consultants, dis-nous en plus sur le tien ?
J’ai toujours été attiré par les arts au sens large, en particulier la peinture et la musique. J’ai abandonné le premier il y a longtemps par manque de temps. Je continue par contre d’exercer le second de manière épisodique : j’ai d’abord commencé à jouer de la guitare et chanter dans un groupe de rock, puis suis passé par une courte période dans un groupe de jazz comme bassiste. Aujourd’hui, c’est la batterie ma passion #1.
Quand est-ce que cela a commencé ?
Tout a commencé lorsque j’ai retrouvé par hasard la vieille guitare de mon père qui prenait la poussière dans le grenier, à l’âge de 14 ans. J’étais absolument motivé et déjà passionné de musique à l’époque, ce qui m’a permis d’apprendre seul. Je suis passé à la basse lors d’un séjour d’un an aux Etats-Unis. La passion pour la batterie était déjà en moi, mais c’est seulement vers 30 ans que j’ai commencé à « tapoter » et apprendre par essais-erreur et grâce à cette source infinie d’information qu’est Internet.
Comment concilies-tu cela avec ta vie professionnelle ?
J’ai une batterie électronique (avec le son en casque audio) dans mon bureau qui me permet, lors des moments de télétravail, de décompresser entre certaines réunions. Ce n’est pas grand-chose, mais de cette manière j’arrive à entretenir une passion qui peut également prendre beaucoup de temps si l’on veut construire quelque chose. J’ai le plaisir d’encore « jammer » avec une dizaine de copains quand nous arrivons à synchroniser nos agendas… c’est-à-dire pas assez souvent 😉
Un petit conseil pour des personnes qui souhaiteraient se lancer dans une activité extra-professionnelle ?
Même si cela semble impossible au vu de votre emploi du temps actuel, il est toujours possible de faire les aménagements nécessaires pour une passion qui d’autre part, vous fera grandir et vous apaisera d’autant plus dans votre activité professionnelle. La frustration des regrets ne contribue certainement pas positivement à votre performance professionnelle.
Au final, avec le recul, je tire 2 leçons :
1 – Quand on est sincèrement passionné par quelque chose, on arrive à des résultats étonnants.
2 – Ce n’est pas pour autant que se passer des conseils de professionnels est intelligent 😉
